Son neveu par alliance, La Fayette, l'a mis par deux fois dans une position délicate, qu'il a assumée avec patience et quelque humour. Ne l'a-t-il pas accueilli à Londres, et même présenté au roi Georges III, juste avant l'embarquement du jeune homme vers l'Amérique ? Et c'est en plus à lui qu'il revient, l'année suivante, de remettre au chef de la diplomatie britannique les documents signés avec les délégués de la jeune nation américaine ... Il ne peut s'empêcher d'écrire : "J'avoue que s'il eut bien voulu ne pas venir à Londres prolonger son carnaval, j'aurais eu un désagrément de moins. Je ne serais pas dans le cas de penser que j'ai eu l'honneur de le présenter au roi d'Angleterre un instant avant qu'il se portât à une démarche aussi étrange et aussi bizarre".
Voici donc le chocolat Emmanuel
Il associe chocolat de Saint-Domingue (bien sûr),maîs (objet d’un véritable engouement chez les agronomes du temps, cette céréale n'a pu manquer de susciter l’intérêt de Louis de Noailles), pomme et graines de courge symbolisant le jardin. Il est croquant et doux !
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